Un constat partagé
L’errance organisée
Le dispositif du premier accueil à Nantes est organisé en des lieux distants et très spécialisés. Ce système organise ainsi l’errance et oblige les personnes à faire chaque jour le tour des structures.
Des bâtiments peu adaptés
Aujourd’hui, les structures de l’urgence sociale de l’association Les Eaux Vives sont souvent vieillissantes et inadaptées au besoin.
Difficile inclusion sociale
Malgré les efforts engagés pour placer l’usager comme acteur de son projet de vie, la stigmatisation du public fragilise le processus d’accompagnement des personnes en errance.
Insuffisance du travail de mise à l’abri
L’organisation actuelle de l’urgence sociale est essentiellement basée sur le concept de la mise à l’abri. Cette approche ne permet pas aux personnes de reprendre confiance et d’oser imaginer la possibilité d’un changement.
Dispositif d’insertion trop contraignant
De nombreux dispositifs d’insertion professionnelle existent mais les usagers des lieux d’accueil arrivent difficilement à franchir le pas.